Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

Présentation du Blog

Bienvenue sur ce blog !
 
Vous allez pouvoir plonger dans le monde des Lettres. Comme il n'est pas de littérature, quels que soient le pays et l'époque, hors du temps, vous pourrez aussi trouver des points de repères dans différents domaines : histoire, peinture, sculpture, musique, architecture, et tant d'autres encore…
 
Une place accordée aux nouveautés de tous pays ne fera pas oublier les textes plus anciens, voire très anciens. Vous pourrez découvrir ou redécouvrir non seulement les textes de l'Antiquité mais aussi ceux du Moyen Age. Les époques suivantes ne sont pas laissées de côté. Au milieu des textes devenus des classiques –comme le veut la formule- vous ferez peut-être d'heureuses découvertes… Vous voyagerez, je l'espère, ici et là dans des univers auxquels vous n'aviez pas encore songé…
 
Vous trouverez aussi des informations sur la langue française. Il ne s'agit pas d'un travail universitaire, mais simplement d'éléments qui permettent de rendre compte des différents états d'une langue.
 
Si vous avez envie de poursuivre, alors venez papillonner et j'espère que vous trouverez votre bonheur et que l'envie de lire sera au rendez-vous !
 
Je vous invite à partager tout cela !

Recherche

Archives

Pages

25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 10:09

Source

 

De son vrai nom Jean Chopinel, Jean de Meung naquît entre 1240 et 1250 à Meung sur Loire dans l'actuel département du Loiret (45).

 

Cet homme n'était pas noble. Jean de Meung était un clerc érudit nourri de culture latine.

 

Il semble avoir passé une grande partie de sa vie à Paris où il se rendit sans doute comme étudiant à l'université de Paris. Il habita une maison de la rue Saint-Jacques qui fut donnée après sa disparition.

 

Traducteur de Boèce, Végèce et Abélard, Jean de Meung est surtout connu comme celui qui donna une suite au Roman de la Rose de Guillaume de Lorris. Si dans les premiers vers, il poursuit, sur le même ton, les lamentations d'Amant, Jean de Meung poursuivit, ensuite, sur la voie de la satire : satire du temps, satire des femmes, satire des Ordres mendiants…

 

Il disparut en 1304 à Paris.

Partager cet article
Repost0

commentaires